"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
«Oscillante parole, tel est le poème:il va du silence au chant, retourne au silence, puis de nouveau... ou encore de l'absence à la présence, du chuchotement au cri, du clair à l'obscur, etc. L'oscillation de la poésie couvre ainsi toute une vie, reliant les pôles de celle-ci - fussent-ils contraires; elle est cette promesse d'être toujours renaissante, toujours menacée. Le nouveau livre du poète d'Une voix, d'Évidences, de Terres de mémoire, de Peut-être une demeure, présente les poèmes écrits entre 1972 et 1977, notamment Le Voyage analogique accompli de janvier à juin 1975 (l'auteur était alors immobilisé à la suite d'un accident); les Poèmes du trobar clus, dédiés à la mémoire de Raymond Queneau, où le poète se souvient du goût qu'avaient pour le secret certains troubadours de sa terre natale, le Limousin; les Poèmes de la honte qui se veulent contrepoint, contrepoids et contrepoison.» Bulletin Gallimard, oct. 1978.
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