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Les origines, au xviiie siècle, du Rite Écossais Ancien et Accepté ne peuvent être dissociées de l'Histoire de la France et de l'Occident. Pour les francs-maçons de cette époque, comme pour la plupart de leurs contemporains, la spiritualité était essentiellement religieuse. On était théiste, déiste, panthéiste, rarement athée ou agnostique. Le « Grand Architecte de l'Univers » représentait alors le « Dieu » des religions ou, pour les philosophes, le « Dieu » d'une « religion naturelle » susceptible d'unir tous les humains.
L'apparition des Hauts Grades, dès la première moitié du xviiie siècle, introduisit dans les rituels maçonniques de nouvelles sources de spiritualités en marge des religions officielles : mystique, hermétisme, gnosticisme, kabbalisme, Rose-Croix, templarisme, sans que soit contestée l'existence d'un « Grand Architecte de l'Univers ».
Ainsi, en puisant sa substance dans la Bible et dans ce qui survivait de l'ésotérisme des anciennes traditions, s'élabora progressivement la spiritualité du Rite Écossais Ancien et Accepté.
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