80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Baskets, vêtements, wax... c'est à Guangzhou que s'échange la plus grande partie de la production chinoise. Depuis les années 2000, des milliers de commerçantes africaines ont décidé de remonter la filière des produits et de se placer elles-mêmes à la source de ce commerce, à Guangzhou. Disposant d'un capital, de plus en plus de femmes sont parties chercher en Chine la possibilité de faire fortune ou de monter une affaire en lien avec leur pays d'origine. Cette mondialisation par le bas procède d'une relative subversion du modèle dominant. Ainsi, ces échanges commerciaux opèrent sans les pays occidentaux et leurs régulations internationales, sans leur système bancaire, et surtout sans leur copyright.
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