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« On nous dit que les contes sont des histoires pour endormir les enfants, leur apprendre à rêver, mais c'est faux. Les contes sont bien plus que cela, ils ont un réel pouvoir. Celui de changer la vie d'un homme, de le transformer, d'en faire un héros ou bien un monstre... » Le Conteur. Décembre 2022 à Paris.Un jeune homme de 20 ans est retrouvé mort dans son appartement. Revêtu d'un manteau écarlate, celui-ci a été éventré et puis recousu minutieusement. Un meurtre méthodique et sanglant. Sur le corps, deux mots taillés dans la chair : Le Conteur. Pour Jack Walsh, ancien policier de la brigade criminelle, cette mise en scène lugubre n'est que le commencement d'une longue série... Décidé à résoudre cette ultime affaire, il s'engage malgré lui dans un jeu macabre et complexe dont personne ne sortira indemne...
Lien de mon avis sur mon blog : https://les-livres-de-nancy.blogspot.com/2024/08/once-upon-crime-julien-rochard.html
J'ai lu ce livre en tant que jurée pour le prix des auteurs inconnus.
Un tueur en série se faisant appeler "Le conteur" tue des jeunes hommes. Ce sont des meurtres très sanglant avec des mises en scène lugubres rappelant les contes.
Quand Jack Walsh, ancien policier de la brigade criminelle à la retraite, reçoit un colis contenant le cœur de la dernière victime du "Conteur", il décide de reprendre du service pour résoudre cette ultime affaire...
Je ressors de ma lecture vraiment très déçue.
Dans l'ensemble, l'intrigue est assez sympa, mais on a beaucoup d'incohérences sur le fonctionnement du 36 quai des orfèvres ainsi que les patronymes américanisés.
J'ai beaucoup aimé le concept du tueur en série qui revisite les contes de fées et les scènes du point de vue du tueur qui développe bien sa psychologie. On a un meurtrier énigmatique et cruel à souhait.
Par contre, d'habitude, j'aime beaucoup les retournements de situation, mais là, le twist de fin ne m'a pas du tout convaincu. Arrivé à l'épilogue, je me suis dit tout ça pour ça ?
Niveau personnages, je ne me suis attaché à aucun tant on retrouve tous les clichés possibles comme les flics alcoolisés qui fument et jurent comme des charretiers à longueur de journée ainsi que les jeunes recrus qui passent leur temps à être choqué.
De plus, la mise en page a complètement gâché ma lecture. On a des changements de lieux et de personnages en plein milieu d'un paragraphe. Du coup, je me suis retrouvé à relire certains passages pour bien comprendre où on était et avec qui.
De plus, les problèmes de ponctuation m'ont assez gêné et empêchent d'avoir une lecture fluide.
En bref, une grosse déception pour ce roman. Un thriller avec des incohérences, beaucoup de clichés et qui aurait besoin d'une relecture.
2ème lecture dans la catégorie Littérature Noire #prixdesauteursinconnus2024
Ce n’est pas le genre de roman policier et thriller que j’apprécie de lire habituellement car j’aime de moins en moins les déluges de sang et d’horreur et le sadisme dans tous ses états !
J’ai apprécié ces scènes, d’un point de vue de l’écriture, car elles sont très minutieusement décrites, proprement pourrais-je dire car la psychologie du tueur est bien présente, même si j’éviterai soigneusement la représentation des descriptions.
Un très bon point pour le final que je n’ai pas vu venir et qui est excellent mais un peu rapidement clos ! Une suite peut-être ?
J’ai beaucoup moins apprécié les grossièretés, trop présentes, jusqu’à la nausée ; les innombrables clichés : les flics alcoolisés, les jeunes ingénus (à force d’être sous le choc, ils devraient être assommés) ; le supérieur hiérarchique obtus et omniprésent et les superlatifs sont “too much” ! Sans parler des patronymes américanisés !
Après la lecture du dénouement surprise, peut-être est-ce voulu ce côté “trop de tout” mais si c’est cela, il n'est pas assez “trop de tout” pour donner une dimension que j’aurais probablement saisie.
Il y a un souci de mise en page et de ponctuation car à moins de relire il est rarement possible de déterminer où nous sommes et qui répond, les paragraphes étant peu marqués ! Les trop nombreuses fautes de toutes sortes ont empêché une lecture fluide et certainement le fait de ne pas goûter le sel de ce polar ! En revanche la couverture est très jolie et dans le thème du roman.
Un roman prometteur qui nécessite un travail de réécriture et surtout éditorial !
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Très bonne lecture qui aurait pu être un gros coup de cœur s'il n'y avait pas un souci dans la mise en page du roman, mais je reviendrai sur ce point.
Histoire : Le conteur, personnage énigmatique, se sert des contes de notre enfance pour commettre des crimes. Rien que ce concept, j'adore. Je ne vais pas tout dévoiler de l'histoire car le résumé parle de lui-même mais c'est vraiment un fil qui accroche bien. Un peu de soupçon, de fausse piste pour mettre le lecteur dans le doute et une fin à laquelle on ne s'attend pas du tout.
Honnêtement, j'ai adoré cette histoire, mon seul regret, c'est qu'au bout d'un moment, je me suis essoufflée parce que je me perdais dans la ligne temporelle et surtout, je n'arrivais pas à trouver un bout de piste sur le conteur et je suis allée lire la fin. Oui, paraît que cela ne se fait pas, mais moi, j'aime bien à un moment donné lire les deux ou trois dernières pages et revenir là où j'en suis. C'est ce que j'ai fait ici, avec une surprenante révélation ! Mais voilà, même en sachant cet élément, j'ai eu du mal à trouver un bon rythme jusqu'au bout.
Personnage : L'équilibre entre les différents personnages se fait bien. On reste peut-être un peu trop en surface avec Jack Walsh et le conteur. Sans copier, un petit rapprochement à la Donato Carrisi aurait été sympa, mais ça, c'est uniquement parce que j'ai un esprit tordu ^^ Je ne me suis pas attachée à un personnage en particulier ni détesté, et je pense que c'est dû au style d'écriture de l'auteur qui essayent de rendre les personnes trop réalistes et donc on tombe facilement dans les clichés comme l'ex-flic qui a un penchant pour l'alcool.
Je vais pousser un petit coup de gueule, mais au fil des lectures, je ne comprends pas cet engouement et je sais que je n'aurai pas de réponse. Pourquoi, pour une action qui se passe en France, utiliser des noms anglophones ? Je n'ai rien contre les auteurs qui utilisent ce procédé, je suis peut-être archaïque, mais ça me dérange de lire un roman dans lequel l'action est en France avec des personnages qui ont des patronymes anglais.
Titre et couverture : Cela fonctionne parfaitement. La combinaison entre le titre et la couverture ne peut qu'appeler notre œil à ouvrir ce roman pour voir de quoi il en retourne. J'aime beaucoup cette couverture.
Plume : L'auteur a une belle plume pour exposer ses idées, il sait mener son lecteur, le mettre en déroute avec des fausses pistes et une révélation finale qui coupe le souffle. Cependant, et c'est là où ma lecture n'a pas été optimale, il y a un gros souci de typographie, de construction des dialogues.
En effet, les incises dans les dialogues sont parfois trop longues ou mal placées, ce qui fait que l'on est obligé de relire plusieurs fois pour comprendre si on est sur le dialogue, l'incise, voire toujours avec le même personnage. Ensuite la typographie. C'est un détail mais qui a toute son importance : le changement de point de vue se fait sans saut de ligne ou autre. Cela est très perturbant car on passe d'une situation/point de vue à l'autre sans ménagement, sans avertissement visuel. Au départ, je ne comprenais pas et finalement, j'ai l'impression que c'est un effet voulu par l'auteur. En tout cas, j'ai dû lire avec un crayon à la main pour marquer les séparations de situations, sinon je n'y arrivais pas.
Et c'est là où je vais pousser un autre petit coup de gueule : je n'ai rien contre l'auteur, ni contre les auteurs indépendants, il faut savoir tirer son épingle du jeu, et ce n'est pas évident, surtout quand on n'a pas le budget d'une maison d'édition. Mais, comment voulez-vous que l'on donne envie aux autres de lire le roman s'il n'est pas soigné ? s'il reste des coquilles ? des fautes d'orthographe ? Je ne parle pas au niveau de la langue, chaque auteur a son propre style et je le respecte, mais je ne me vois plus acheter un livre 20€ pour avoir autant de problème, c'est dommage car cela ne donne pas une visibilité à l'auteur. Je ne dis pas que tous les auteurs indépendants sont comme ça, mais quand je vois le prix des livres, moi ça me freine de plus en plus. Bref, je referme cette parenthèse parce que hormis ça, j'ai vraiment aimé cette histoire.
Pour résumer, c'est réellement une histoire prenante, et j'espère qu'il y aura une nouvelle édition pour corriger ces petites erreurs car ce roman vaut complètement le coup !
Merci à Librinova de m'avoir permis la lecture de ce bon thriller .Jack Walsh ,un policier à la retraite ,est personnellement impliqué sur l'enquête de la mort sanglante d'un jeune homme qui pourrait être le fait d'un serial killer qui se nommerait « le conteur » .Il se joue de la police alors que les victimes s'enchainent menaçant de s'en prendre aux proches de Jack qui n'a plus qu'un objectif ,le réduire au silence .Un bon polar bien rythmé à découvrir .
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