80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Au lendemain de la publication de l'étude choc de Gilles-Éric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen, par la revue américaine Food and Chemical Toxicology, révélant la toxicité du maïs OGM NK603 de Monsanto, le débat sur le dossier sensible des OGM est une fois encore relancé.
D'un côté, nous avons les industriels et les politiques pro-OGM ; de l'autre les associations et les politiques anti-OGM ; et encore ailleurs, il y a les agences souveraines telles que l'EFSA (autorité européenne de sécurité des aliments) ou la FDA (Food and Drug Administration) par exemple, entre les mains desquelles repose le destin sanitaire d'à peine quelques milliards de personnes.
C'est la guerre des clans : tous se livrent une lutte sans merci depuis des années. La cause ? L'organisme génétiquement modifié. Découverte révolutionnaire pour certains, quand elle est à prohiber pour d'autres, la transgénèse n'est pas accueillie de la même manière partout. Si, d'un point de vue scientifique, elle constitue une avancée majeure, du point de vue social, elle représente souvent un danger.
Pourtant, malgré une opposition vive de la part des citoyens, les intérêts privés des puissants lobbys restent préservés et défendus par de nombreux politiciens. Alors, qui détient réellement le pouvoir ? Quels intérêts servent les OGM ? Face à tant d'incertitudes généralisées et devant tant de méfiance de la part des consommateurs, comment comprendre cet acharnement des puissants pour imposer la culture OGM ?
Entre intérêts industriels et enjeux politiques, ce livre fait le point sur ce dossier brûlant depuis un demi-siècle.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année