80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis le début des années 90, on assiste à une colonisation progressive de la nuit urbaine par les activités économiques. Face à l'augmentation de la demande festive ou laborieuse, les villes européennes ont dû repenser leurs réseaux de transport. Malgré les freins liés à la plus faible rentabilité, aux coûts supérieurs et aux problèmes de dégradations ou d'insécurité, pouvoirs publics, associations et entreprises ont développé une nouvelle offre de services nocturnes. Souvent expérimentés à l'occasion d'événements excep-tionnels (Nuits blanches...) ces services participent à la recomposition d'un nouvel espace de travail et de loisirs nocturne et à la définition d'une nouvelle urbanité. Leur développement intermodal et multiscalaire, l'animation des pôles de transit, l'information et le confort accru, peuvent contribuer à l'émergence de villes plus accessibles et hospitalières. La nuit a décidément beaucoup de choses à dire au jour.Préface de Jean-Claude Ziv, Professeur Titulaire de la Chaire Logistique Transport et Tourisme du Conservatoire National des Arts et Métiers, Conseiller de la Direction Générale de Veolia Transports.Postface de Jean-Jacques Payan, Ancien président du conseil d'administration de l'Université de technologie de Belfort/Montbéliard et de la Maison du Temps et de la mobilité., ancien directeur Général du C.N.R.S et des Enseignements Supérieurs et de la Recherche au Ministère de l'Education Nationale, ancien Directeur de la Recherche du Groupe Renault.
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