La « cause de la phénoménologie » s'est trouvée défendue et illustrée en France par de multiples oeuvres, qui, au-delà même de la réception des pensées de Husserl et de Heidegger, ont aujourd'hui des effets en retour sur les pays germaniques d'origine de la phénoménologie. Organisées par Christian Sommer et Jean-Claude Monod, les journées des 7 et 8 mars 2012 ont réuni, rue d'Ulm, les principaux représentants de la « nouvelle phénoménologie » en France pour une discussion des thèses formulées dans l'ouvrage de Hans-Dieter Gondek et Laszló Tengelyi, Neue Phänomenologie in Frankreich (2011) qui proposait une vaste synthèse des évolutions, des thèmes et des débats qui ont marqué le champ phénoménologique français, du début des années 1980 à la génération actuelle.
Contributeurs : Alexander Schnell, Christophe David, Dominique Pradelle, Éliane Escoubas, Étienne Bimbenet, François-David Sebbah, Françoise Dastur, Inga Romer, Jean-Claude Monod, Jean-François Courtine, Jean-Luc Marion, Jérôme de Gramont, , Jocelyn Benoist, Laszló Tengelyi, Marc Richir, Natalie Depraz, Raoul Moati, Renaud Barbaras
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