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NOIR CLAIR aborde le passage : du noir vers la réparation, en passant par le doute. Un processus créatif : celui du dessin au crayon noir.
Le noir : concentration de toutes les couleurs, le deuil, mais aussi l'élégance, Giya et Chapman nous jette dans la vie. Le noir de la souffrance nous fait ressentir une ambivalence continuelle entre le noir et la vie : la vie noire, ma maladie, la menace, la mort.
La vie est grise aussi : elle est hésitation, d'où naît la conscience, laquelle nous mène à son tour au processus : processus de deuil, processus créatif, processus de réparation.
Si ces aspects du noir et du gris sont abordés à travers des oeuvres d'artistes contemporains (Charley Case, Mat Collishaw, Tonino Cragnolini, Mounir Fatmi, Bob Flanagan, Fabrice Langlade, Martin Lord, Luc Mattenberger, Andrea Mastrovito, Robert Montgomery, Lucien Murat, Jean-Michel Pancin, Françoise Pétrovitch, Eric Pougeau, Julien Serve, Rudy Shepherd & Frank Olive et Jeanine Woollard), le livre s'attaque aussi aux liens entre patients (vivant dans le noir) et thérapeutes (déclencheurs de processus) et n'hésite pas à entrer dans les sphères les plus personnelles des protagonistes.
Sous la direction de Barbara Polla, avec des textes de Régis Durand, Philippe Hurel, Rémi Tomaszewski, Jean-Philippe Rossignol, Victor de Bonnecaze.
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