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My Buenos Aires s'inscrit dans le cycle d'expositions que La maison rouge consacre aux scènes artistiques de villes, initié à l'été 2011 avec la ville de Winnipeg au Canada et poursuivi en 2013 avec Johannesburg en Afrique du Sud.
Alors que certains déplorent l'uniformisation supposée du monde de l'art, qui serait la conséquence de la globalisation, il a semblé pertinent de se tourner vers des centres de création qui, bien qu'éloignés du feu des projecteurs, sont animés par une scène artistique active et dont les productions sont imprégnées par le territoire, la ville, son histoire, ses mythes.
Buenos Aires est dotée de tous les accessoires des mégalopoles contemporaines : violence urbaine, pollution et nuisances sonores, mais elle conserve, à l'abri des jacarandas qui jalonnent ses avenues, l'extraordinaire capacité de se réinventer et de manifester sans complexes, parfois même avec brutalité, l'urgence d'un vivre mieux.
Avec cette exposition, ce n'est pas une illustration de la ville que Paula Aisemberg et Albertine de Galbert présentent au public de La maison rouge, ni un palmarès des artistes argentins, mais bien une sensation, une expérience du bouillonnement artistique qui y règne.
Avec plus de cinquante artistes de quatre générations représentés, l'exposition est une invitation à s'engouffrer dans le mystère de Buenos Aires sans tenter de le résoudre.
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