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Le 1er mars 2005, Édouard Stern est retrouvé assassiné dans son appartement genevois. De permanence ce jour-là, le juge Michel-Alexandre Graber ne sait pas qu'il vient d'hériter d'un dossier ultrasensible. La nouvelle de la mort de la trente-huitième fortune française secoue le monde de la finance. Un banquier en tenue latex, exécuté de quatre balles... À Londres, New York, Paris, on ne parle que de cela. Genève la calviniste ne goûte guère ce genre de publicité. On sait qu'en fouillant dans les eaux troubles et
profondes de la haute finance internationale, la justice risque de remuer la vase. L'arrestation rapide de Cécile Brossard, maîtresse attitrée du banquier et meurtrière présumée n'apaise pas les craintes de l'entourage d'Édouard Stern qui redoute un grand déballage de sa vie privée et de ses affaires. En 2002, avec le départ du procureur général de la république et canton de Genève,
Bernard Bertossa, la place financière avait pourtant retrouvé le sommeil. Depuis cette affaire où se mêlent sexe, argent et pouvoir s'agite à nouveau le spectre de l'opprobre et du scandale.
Lorsqu'il retrouve les hommes de la police criminelle dans l'appartement d'Édouard Stern, le « petit » juge ignore encore que son enquête intéresse les plus hautes autorités françaises. Il est surveillé. Son enquête devient l'otage d'une terrible lutte d'influence au sommet de l'État français.
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