80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« L'innocence volée de ma tendre enfance, plane sur mon être depuis le début de ma vie, l'innocence violée et mes années de souffrance, lorsqu'un un père a volé ma fraîcheur et mes envies ! » De rendez-vous à l'hôpital en interrogatoires de police, Astrid fut bientôt prise en charge par la direction des affaires sanitaires et sociales qui a organisé son placement en famille d'accueil le temps de trouver une institution. Alors elle se revoit placée chez la voisine du dessus, chez des amis ou de simples relations, chez des oncles ou des tantes. Ce livre est le récit de son parcours semé d'embuches. Un livre qui ouvre aussi l'esprit sur le rêve et la romance. Un récit troublant, mais terriblement réaliste qui plonge le lecteur dans les arcanes d'une jeunesse détruite mais qui fait également la part belle aux rêves les plus secrets et les plus fous, ceux qui permettent de se raccrocher à la vie.
« Ou que mon errance me guide, je m'attends à tomber sur une maison coloniale entourée d'une végétation luxuriante composée de rares Anthuriums, d'Amarantes et autres Bougainvilliers. » Tout premier livre pour Oswald-Éric, auteur amateur, ancien électrotechnicien qui, à 70 ans, profite de sa retraite pour écrire. Après des activités parallèles à son métier en tant que sapeur-pompier volontaire il troquera ensuite son uniforme pour endosser celui de correspondant de presse.
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Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année