Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
« Il n'est aucun art ou science qui soit plus semblable à la mémoire artificielle que la peinture?», écrivit Giovanni Fontana vers 1430. Cette affirmation ne signifie pas cependant que l'on ait pensé l'art de la mémoire toujours en fonction d'une connaissance pratique de la peinture, ni au Trecento, ni au Quattrocento, ni dans tous les travaux qui ont remis en lumière ces principes depuis un demi-siècle.
Daniel Arasse supposait des structures similaires aux deux catégories d'images -?celles de l'ars memoriæ et celles des arts figuratifs?-, en posant la condition de garder à l'esprit la distance entre le «?schéma explicatif?» qu'est l'image mnémonique et «?la belle peinture?» que vise à être l'image artistique. Le lien entre image mnémonique et image artistique, s'il semble justifié, n'en est donc pas moins complexe dès que l'on souhaite dépasser une commode analogie.
Cet ouvrage dépasse les approches francastelliennes du «?lieu?» et se concentre sur un point central: le lien entre le lieu et la figure dans la peinture des Trecento et Quattrocento.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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