80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Accompagné du photographe Bernard Matussière, Erik Orsenna se rend à Cuba à la recherche de ses ancêtres...
«Elle s'appelait Villademoros, papetière. Il se prénommait Augustino, négociant. Mes arrière-grands-parents. Ils habitaient La Havane, où ils étaient nés.
Cent vingt ans plus tard, Cuba coupe le souffle tellement les gens, les lieux sont beaux, et serre le coeur tant l'échec est criant. Un grand Fidel est passé par là. Il voulait édifier le paradis sur terre... On peut construire des écoles, des hôpitaux. On ne force pas un peuple au bonheur. Surtout quand ce peuple le possède en lui. Vous l'aviez deviné: en même temps que l'arbre généalogique, nous avons visité les ruines du rêve.»
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