L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Agnès Gonxha Bojaxhiu est née le 26 août 1910 à Skopje en Macédoine de parents albanais.
Soucieuse de suivre une vocation missionnaire, elle part en 1928 à Dublin rejoindre la Congrégation des Soeurs de Lorette. Après avoir enseigné, de 1937 à 1948, à l'école Bengali Sainte Marie de Calcutta, elle acquiert la nationalité indienne et ouvre en 1951 un premier "mouroir". En 1979, l'Institut compte 158 maisons. Cette même année, elle obtient le prix Nobel de la Paix. Un lien d'amitié et d'admiration réciproque unit Jean-Paul II et Mère Teresa.
A sa mort, le 5 septembre 1997, Jean-Paul II autorise l'ouverture du procès de béatification avant le délai canonique de 5 ans et la proclame bienheureuse le 19 octobre 2003. A la fin de 2005, les Missionnaires de la Charité étaient 4 660, représentant 81 nationalités et à l'oeuvre dans 131 pays. Ce livre, en deux parties bien équilibrées, est à la fois une excellente mise en perspective du développement de l'oeuvre de Mère Teresa et une autobiographie passionnante et très éclairante sur son itinéraire humain et spirituel, ses appels intérieurs, la dimension religieuse de son engagement au service des plus pauvres.
Grâce aux rencontres, interviews, témoignages, paroles de Mère Teresa, le récit est rendu très vivant. Il éclaire la vocation des Missionnaires de la Charité et la manière pour toute personne de les aider à faire leur travail, à réaliser leur vocation.
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