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« Dans l'histoire [.] de la conversation en France, un trait suffirait à qualifier Mme de Rémusat, à lui faire sa part, et on peut se rapporter à ce qu'il signifie pour le mélange du sérieux et de la grâce: elle est peut-être la femme avec laquelle ont le mieux aimé causer Napoléon et M. de Talleyrand. » Cette assertion de Charles Augustin Sainte-Beuve donne la pleine mesure de celle qui fut dame du palais de Joséphine de Beauharnais et s'imposa, à ce titre, comme un témoin privilégié des premières années du XIXe siècle.
Détruits de sa propre initiative pendant les Cent-Jours, recomposés à partir de 1818 dans le souci de fixer sa vision de l'Empire, ces Mémoires retracent avec sagacité la vie des cours consulaire et impériale entre 1802 et 1808, pointant aussi bien les querelles internes et les rivalités sans merci des clans Bonaparte et Beauharnais que les intrigues orchestrées par les deux grandes figures du gouvernement, Joseph Fouché et Charles-Maurice de Talleyrand Périgord.
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