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Benjamin Ferencz raconte le New York des années 20, son adolescence dans les quartiers pauvres. Diplômé de Harvard (en droit) alors que rien ne l'y destinait, il s'engage dans l'armée en 1943 sous les ordres du général Patton et est confronté à la violence de la deuxième guerre mondiale : il assiste au débarquement à Omaha Beach et à la libération de certains camps de concentration, enquête pour les premiers procès pour crimes de guerre. En 1946, il est renvoyé en Allemagne pour participer aux procès de Nuremberg. Il sera à l'origine de celui des Einsatzgruppen. Il livre ses souvenirs de ce procès, de l'audience et de l'absence de remords des accusés. À partir de 1948, Benjamin Ferencz se voit confier divers programmes de réparation des victimes, d'abord à Berlin jusqu'en 1956 puis à New York où il est en charge des dossiers IG Farben et Krupp (travail forcé des détenus des camps de concentration). À partir de 1970, il se concentre sur des travaux juridiques et diplomatiques et contribue personnellement à l'instauration de la cour pénale internationale. Aujourd'hui il est sollicité sur toutes les grandes questions juridiques internationales. Il réagit notamment dans ce texte au procès de Saddam Hussein et aux assassinats de Ben Laden et de Kadhafi.
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