"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Même l'eau avait le goût de sang sont les mémoires posthumes de Pedro Abellan qui en 1936 part s'engage du coté républicain dans la guerre civile espagnole, en 1939 il vit la retirada et ses camps de concentration pendant 9 mois puis se retrouve à la Grand'Combe dans le gard où il participe à la résistance jusqu'en 1944 pour terminer son récit par l'opération du Val d'Aran qui consiste pour les guérilleros espagnols à s'infiltrer en Espagne pour faire tomber Franco.Ce livre se lit comme un roman, il est un témoignage digne des plus grands reporters de guerre.
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