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Maria Deraismes (1828-1894). Un nom oublié aujourd'hui. Et pourtant cette journaliste, conférencière, brillante femme de lettres a été une grande figure du XIXe siècle et la fondatrice de la première loge franc-maçonne à laquelle les femmes étaient admises. Elle s'est toujours battue pour plus de "liberté, d'égalité et de fraternité". Aussi a-t-elle mis sa plume et son argent au service des plus démunis : femmes, enfants, disgraciés de la vie.
Elle a revendiqué l'égalité des droits des femmes et des hommes, la liberté d'expression, critiquant l'emprise de l'Eglise catholique sur les consciences. Libre, riche, passionnée, elle a fréquenté tous les milieux, en particulier les Frères du Grand Orient. Au fil du temps, Maria Deraismes a pris conscience du rôle que la franc-maçonnerie pouvait jouer sur le cours de l'Histoire. Elle y entrera par la petite porte, en 1882, grâce à une loge progressiste, la Grande Loge Symbolique Ecossaise, avant de créer sa propre obédience mixte avec le docteur Georges Martin, en 1893 : Le Droit Humain.
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