"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un profond désespoir qui s'exerce sur soi et peut se retourner contre autrui attend la personne qui, prenant conscience de sa déchéance, la vit comme étant irrémédiable. On ne sait plus à quelle puissance se vouer pour mettre un terme au processus de dégradation. Mais cette puissance existe. Dieu ou l'âme, qui par un sinueux parcours guérit la fracture en restaurant l'être dans son intégrité, en purifiant le lien qui arrache un couple au monde et sanctifie le mariage, en totalisant et en unissant à Dieu l'errant.
Le mal demeure lié à la transfiguration soit que le fondement du mal lui-même se transmute et ne prospère plus ou bien que l'élévation de l'homme à l'incandescence nécessite péché et repentir.
Le but suprême de l'humanité étant la transfiguration déiforme, le mal est-il nécessaire ? Devient-on Béatrice et Séraphin sans jamais avoir été, ne serait-ce qu'en pensée, Myrrha et Vautrin ?
A ces questions l'auteur a tenté de répondre dans le cadre de la littérature. La Divine comédie de Dante, le Portrait de Dorian Gray de Wilde, la Chute de Camus, la trilogie de Calvino, Nos ancêtres. Varouna de Green, Rencontre de Nouaymé, la Princesse Opale de Dammous. les récits de Lovecraft, telles sont les oeuvres qu'il cerne de son propos et à l'interprétation desquelles il mobilise philosophie, psychologie et théologie (en particulier Maître Eckhart).
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