"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Quand j'atteindrai quarante ans, mes facultés se seront peut-être repliées, telle la corolle des fleurs au crépuscule, me laissant incapable d'écrire mes mémoires en y mettant la dose idoine de sobre inexactitude, ou alors, étant venu à bout de la tâche, incapable d'aller les porter à mon éditeur. » C'est donc dès les années 1930, dans les pages du New Yorker, que James Thurber (1894-1961) fait paraître Ma chienne de vie, autobiographie loufoque racontant sa jeunesse au sein d'une famille farfelue de l'Ohio. De l'effondrement du lit paternel à la visite nocturne de bien étranges fantômes, des lubies du chien Muggs à celles d'un grand-père hanté par la guerre de Sécession, Thurber transforme les petits événements de la vie en minuscules épopées cocasses, tendres et ironiques.
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