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Le présent texte du philosophe polonais, Roman Ingarden, s'inscrit dans son grand projet d'élaborer une esthétique phénoménologique, qui porte à la fois sur la structure et le mode d'être des oeuvres dans les différents domaines de l'art, et ainsi d'esquisser un système des arts. La singularité de l'objet « architectural », comme d'ailleurs celui de la musique, oblige toutefois le philosophe à réviser et à nuancer sa conception de l'oeuvre d'art, qu'il a établie notamment à partir de la littérature. L'intérêt du texte de 1945 est alors double : il s'agit non seulement de l'un des rares textes en phénoménologie qui s'interroge sur le statut et le sens de l'architecture comme un art spécifique, mais il constitue également une belle introduction à l'esthétique d'Ingarden, dont il revisite les notions principales en même temps qu'il en propose une application éclairante.
Patricia Limido-Heulot, docteur et agrégée, enseigne l'esthétique, ainsi que la philosophie de l'art et de la culture, à l'Université de Rennes 2.
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