La Franc-maçonnerie connue car médiatisée est conduite par des Janus des temps modernes qui clament des grands mots d'amour, de tolérance et de liberté de conscience, tout en pratiquant la calomnie, le sectarisme et l'exclusion. Cette situation condamne la Franc-maçonnerie française à vivre les mêmes maux qui sévissent dans la rue, où le non respect de pensées jugées « politiquement correctes », conduit des hommes honnêtes au banc de l'infamie. Parallèlement à ce constat, l'auteur, tout en défendant des valeurs qu'il estime inhérentes au fait maçonnique, s'interroge sur un mouvement politique qui, bien que se disant protecteur de ces mêmes valeurs, ne manque pas, souvent, de pourfendre la Franc-maçonnerie au moyen d'arguments dont le souvenir est lié aux sombres heures du dernier conflit mondial. L'auteur en appelle à une vision plus sereine et plus vraie, en souhaitant qu'elle donne de la Franc-maçonnerie une image plus authentique, tant à l'homme de la rue qu'aux Francs-maçons eux-mêmes.
Cet ouvrage a été originellement publié par les Editions des Beaux-arts en 1998 et boycotté peu après sa sortie par son retrait des librairies, son diffuseur prenant prétexte « qu'il ne partageait pas les opinions émises ». On peut juger par là de la valeur de la « liberté de conscience » chez ceux qui s'en disent les chantres !...
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