Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Voici les lettres de guerre de Jean de la Ville de Mirmont, telles qu'elles furent publiées confidentiellement après sa mort durant la première guerre mondiale.
Cette correspondance débute le 28 juillet 1914 et se termine quatre mois plus tard avec sa mort le 28 novembre. Trois années après sa disparition, paraît à la fin de 1917 un petit ouvrage hors commerce édité aux bon soins de sa mère.
Jean de La Ville de Mirmont (né à Bordeaux en 1886) réussit après maintes tentatives à contracter un engagement pour la durée de la guerre. Il se retrouve au 57ème régiment d'infanterie de Libourne. Le 26 septembre, il part pour le front. Deux mois lui restent à vivre.
Cet ouvrage se compose d'une quarantaine de lettres adressées à son père et à sa mère depuis Paris (28 juillet - 8 septembre), puis de Libourne jusqu'au 25 septembre. Une troisième partie consacrée au front débute par le carnet de route dans lequel il note son voyage dans un wagon à bestiaux puis enfin relate son expérience de combattant dans les tranchées.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !