80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Gidon Kremer est un des grands violonistes de notre époque. Virtuose de la plume comme de l'archet, il s'adresse dans ces lettres à une jeune pianiste, une certaine Aurélia, une jeune femme talentueuse qu'il craint de voir succomber aux attraits du succès. C'est avec une sagesse mêlée de tendresse et de générosité qu'il lui recommande de " suivre son propre chemin ", sans céder à la tentation de " vendre " sa virtuosité. Ces lettres, où se croisent réflexions sur son propre parcours, méditations sur les délires de grandeurs de notre siècle et souvenirs de concerts et de musiciens célèbres, sont à la frontière entre la fiction et le réel ; elles prennent par là une véritable portée universelle.
Extrait :
" Ce qui devient décisif pour la carrière, voire pour la vie elle-même, c'est le know how, la manière dont on vend son talent. Qu'on vende alors en même temps son âme, bien peu s'en aperçoivent... Devenir célèbre, voilà un sujet très en vogue, et cela me fait peur... "
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