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De Los Angeles à Bogota, d'Athènes à Calcutta, l'espace public disparaît inexorablement pour laisser la place à une privatisation sauvage.
Comme si la seule chose que les citoyens de toutes les villes contemporaines avaient encore à mettre en commun était l'impossibilité, la haine ou le rejet de toute communauté.
Ni politique, ni religieuse, ni industrielle ; la ville de demain peut-elle encore être projetée, construite ? Comment repenser l'espace public là où le social reste désespérément muet, incapable d'exposer l'essence de son lien ? Le projet d'architecture, qui se pose comme un acte de rassemblement, est-il encore possible dans un univers physique et mental dont les éléments partent en éclats ?
Telles sont les questions abordées par cet ouvrage qui s'achève en commentant les projets présentés dans le cadre de l'exposition « La ville en éclats ».
Cette manifestation itinérante, organisée par l'auteur (avec Takis Koubis), a été montée à l'École des Beaux-Arts d'Athènes en septembre-octobre 1997 et à Paris, à l'École Spéciale d'Architecture, en février-mars 2000.
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