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En Bretagne, chaque maladie pouvait autrefois être soulagée, voire guérie, grâce à l'intervention d'un saint. Saint Mamert était invoqué contre les maux de ventre, saint Gilles par les épileptiques, saint Méen pour soigner la gale, saint Cado en cas de surdité ou encore sainte Blanche pour favoriser l'allaitement. Pour s'attirer les bonnes grâces d'un saint, il convenait d'effectuer un rituel bien précis, souvent à l'occasion d'un pardon.
Ces pratiques, bien que réalisées dans un cadre chrétien, plongent leurs racines dans un paganisme très ancien.
Dans Les saints guérisseurs de Bretagne, écrit en 1922, Léon Maître (1840-1926), archiviste en chef de Loire- Inférieure, en fait une étude érudite et très complète, nourrie des nombreux témoignages recueillis dans les cinq départements bretons.
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