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Un dimanche, neuf heures du matin dans une ville du midwest.
Bank arbaugh et mack steiner achèvent leur ronde de nuit lorsque tombe le message radio : une enfant de douze ans a disparu. elle était partie faire un tour à vélo et la mère a retrouvé la bicyclette, mais pas sa fille. les deux policiers échangent un regard. ils pensent à une autre fillette, disparue sept ans plus tôt. la fille de bank. une vieille affaire qui est au coeur de leur histoire à eux.
Les quatre coins de la nuit met en scène deux personnages puissamment campés, unis par une amitié ambiguë, complexe et contradictoire.
Rarement un roman noir aura été aussi peu manichéen. rarement, de lieux aussi ordinaires, un auteur aura fait surgir de tels personnages, une telle atmosphère. cette puissance d'évocation est la marque d'un écrivain dont le talent a été salué, entre autres, par james crumley.
Voilà un polar qui se démarque ! Un roman sombre et émouvant qui va crescendo dans un va et vient entre passé et présent.
Bank et Mack sont 2 flics liés par bien plus que leur métier… L’histoire de leur amitié pèse également de tout son poids sur ce récit… Le passé éclaire le présent.
2 enquêtes en parallèles, 2 disparitions, celle de la fille de Bank 7 ans avant, puis celle de Tamara sur laquelle les 2 hommes vont enquêter… chacun à leur façon…
Le passé de Bank, enfant élevé en famille d’accueil, son vécu, la disparition de sa fille… Autant d’éléments qui expliquent sa volonté de retrouver Tamara… à tout prix.
Mack nous raconte… il tente de faire des liens entre ses souvenirs et les rebondissements de l’enquête présente… Il se pose des questions mais il est loin de savoir ce qui l’attend.
Au final, un polar puissant et profond qui aborde des sujets délicats avec humanité… une belle découverte !
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