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Les poilus de Harlem ; l'épopée des Hellfighters dans la Grande Guerre

Couverture du livre « Les poilus de Harlem ; l'épopée des Hellfighters dans la Grande Guerre » de Thomas Saintourens aux éditions Tallandier
  • Date de parution :
  • Editeur : Tallandier
  • EAN : 9791021038066
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Ils sont porteurs de valises, manutentionnaires, boxeurs, mais aussi avocats ou musiciens de jazz. Tous Noirs américains.
Le 15 e régiment d'infanterie de la garde nationale de New York, créé en 1916 à Harlem, est une équipe de choc, composée de 2 000 soldats et de quelques officiers noirs,... Voir plus

Ils sont porteurs de valises, manutentionnaires, boxeurs, mais aussi avocats ou musiciens de jazz. Tous Noirs américains.
Le 15 e régiment d'infanterie de la garde nationale de New York, créé en 1916 à Harlem, est une équipe de choc, composée de 2 000 soldats et de quelques officiers noirs, menés par une poignée de hauts gradés blancs idéalistes. Par leur engagement dans la guerre mondiale, ils entendent briser la logique de ségrégationet prouver leur valeur humaine sur les champsde bataille.
Le 1 er janvier 1918, ils débarquent à Brest en entonnant une Marseillaise jazz, prêts à se battre. D'abord relégué aux travaux manuels, ce régiment atypique combattra à une seule condition : sous commandement français, intégré aux poilus, évitant ainsi à l'US Army le mélange des couleurs dans ses rangs. Surnommés «Hellfighters» par les Allemands, ils multiplieront les faits d'armes dans les tranchées de la Marne. La Grande Guerre sera-t-elle le tremplinespéré vers leur reconnaissance ?
Thomas Saintourens raconte pour la première fois en France la formidable épopée de ces oubliés de l'Histoire. James Europe, le grand chef d'orchestre, fait vibrer la France au rythme du jazz, le peintre Horace Pippin croque dans ses carnets de bord la vie dans les tranchées et Henry Johnson, le modeste porteur de valises d'Albany, gagne le surnom de « Black Death » après une bataille héroïque. Si le régiment reçoit les plus hautes décorations françaises, l'Amérique blanche, elle, oubliera ses héros, pourtant dignes d'un film d'Hollywood.

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