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Célébrer est un acte complexe : acte physique, acte mental aussi, acte qui, s'il est réellement posé, engage toutes les dimensions de la personne.
C'est justement de cette gamme, de cette amplitude, de cette profondeur que les pères de l'eglise nous aident à prendre conscience. certes, et presque toujours en lien avec son exercice communautaire et liturgique, ils parlent des postures de la prière ; mais outre la posture de l'assemblée célébrante, ce que nous essaierons de traquer ici, c'est sa mentalité, son ethos et, le cas échéant (l'homme antique, oriental ou méditerranéen est un expressif), son pathos.
La mosaïque des textes fait surgir devant celui qui la reconstitue toute une déontologie de la célébration ; elle laisse transparaître, de manière singulièrement concordante, ce qui pour les pères est normatif en la matière et ce vers quoi ils entendent acheminer l'assemblée chrétienne. a partir de ces témoignages rassemblés et classés, françois cassingena-trévedy établit un profil comportemental des " concélébrants ", clercs et laïcs, aux ive et ve siècles pour l'essentiel ; non pas seulement de l'homme extérieur, mais plus encore, pour user d'une terminologie augustinienne, de l' " homme intérieur ".
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