"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Peintre, dessinateur, homme de cour, grand lettré, musicien, Augustin Carrache (Bologne, 1557-Parme, 1602) se présente d'abord à nous comme l'un des plus illustres graveurs de son temps.
Ses Lascives comptent parmi les chefs-d'oeuvre de l'art érotique.
Dès sa première publication, cette suite de quinze gravures suscite le scandale et l'admiration. Condamnée par les autorités ecclésiastiques, ses éditeurs inquiétés, l'oeuvre connaît néanmoins un succès immense. En Italie et bientôt à travers toute l'Europe, les amateurs se la disputent à prix d'or, les artistes la copient, la pillent, la détournent. Son rayonnement ne cessera qu'à partir du début du XIXe siècle.
Les Lascives sont alors enterrées, ou bien traitées comme une curiosité sans intérêt. Ces dernières années, elles ont lentement refait surface, tout en demeurant le plus souvent noyées dans d'épais catalogues raisonnés. Les voici pour la première fois étudiées à la loupe et exposées en pleine lumière.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !