"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
"Capelle aime Gainsbourg, et vous voulez que je vous dise ? Il a réussi ce tour de force prodigieux d'incarner son génie dans un tout autre art, celui de la poésie.
Après les années «Gainsbarre», les années noires, voici avec ce 2ème recueil une transition vers les années Gainsbourg, celles des «Grands Jours», de son grand amour perdu, avec toute la douleur brute et obsédante, viscérale, animale même, qui en découle.
Cette douleur qui vous abîme le corps et l'esprit, il l'a toujours regardée en face, il est tombé mille fois sous ses coups, atteignant un paroxysme de souffrance que seuls les êtres authentiques peuvent éprouver.
Son extrême sensibilité l'a exposé au pire mais le temps, ce foutu temps qui atténue toujours les plus grandes douleurs, a fini par faire son job : le réparer. En le libérant de toutes ces blessures tout en les préservant intactes au fond de lui, comme on conserverait dans un musée le plus amer et le plus grand regret de sa vie, celui qu'on ne veut surtout jamais oublier.
Imprégné de la condition humaine et de Montmartre, son refuge, il se relève peu à peu et nous offre avec ce recueil, la plus bouleversante démonstration de résilience."
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