Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Pour la première fois, les auteurs ont cherché à ne retenir que des villas, immeubles et bâtiments publics Art déco et néobasque relativement méconnus.
L'armistice de 1918 met fin aux combats de la Première Guerre mondiale. Peu après s'amorce une période d'intense activité sociale, culturelle et artistique portée par une jeunesse enivrée d'espoir qui souhaite s'amuser, vivre et surtout oublier les horreurs de la « Der des ders ». Chaque année, entre les mois d'août et octobre, cette élite mondialisée et cosmopolite fait de la Côte basque son terrain de jeu. Effréné est le rythme des fêtes somptueuses et des soirées sans fin qui s'égrènent au son des notes chaudes et cuivrées du jazz. Parmi la cohorte d'industriels, patrons de presse, princes déchus et autres amerikanoak présents chaque été, certains, désireux de disposer d'un pied-à-terre, vont alors faire appel aux architectes et artisans locaux les plus en vue. Ceux-ci, en fonction du budget dont ils disposent et du goût du commanditaire, élèvent des bâtisses dans un style tantôt régionaliste, tantôt moderne, on ne parle pas encore d'Art déco. Il arrive parfois que ces constructions mirifiques soient situées à la croisée des deux mouvances.
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