Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
« On vit ce qu'on écrit et n'invente jamais rien ». Dans les romans de Jacques Serena, dans les squats et les appartements incertains, on croise les « fiévreuses », ces filles naufragées, à la maigreur dolente, aux émouvantes intimités, apaisantes et inconciliables. Les fiévreuses, on ose rarement. On espère. Quelques fois on les fait se mettre nues et les photographie. Les fiévreuses, c'est l'âpreté du vide, la fuite et la nostalgie du « doux chaos ». Les fiévreuses, c'est la tension du texte, le risque, la façon inquiète d'éprouver la littérature. Tellement de phrases et de souffle en déséquilibre chez Jacques Serena. « On écrit dans sa chute »
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !