80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
C'est à partir de la vision d'une peinture qui l'a bouleversé - il s'agit du Saint Sébastien de Georges de La Tour - que le narrateur tente de cerner cela qui le hante et qui n'a pas de nom. L'inquiétude tenace qui le poursuit à travers l'oppression quotidienne de mille signes et, plus encore, à travers la présence d'une jeune fille nommée Laure, il essaie de l'exorciser par l'écriture et par la fuite : les falaises d'Etretat, les ardoises de Honfleur, les remparts d'Antibes dessinent la géographie de son aventure. Mais l'errance, provisoirement, métamorphosera ce chant funèbre, où guette le suicide, en une célébration de la vie dans ce qu'elle offre de plus simple : les éléments, l'amour d'une femme, la faim retrouvée. Une jeunesse désenchantée, qui sait à la fois la désespérance et la ferveur. Premier roman.
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