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Un assassinat rue de Nemours, un infanticide faubourg de Nantes, un cambriolage et un incendie rue Saint-Sauveur, un trésor caché aux Buttes de Coësmes : aucun doute, Les Drames de la vie ouvrière sont un vrai roman-feuilleton, dans la plus pure tradition des Mystères de Paris d'Eugène Sue ou des Mystères de Londres de Paul Féval.
Et ils pourraient aussi s'intituler " Les Mystères de Rennes ", puisque c'est sa ville natale que l'auteur a choisie comme cadre de ce roman aux péripéties parfaitement rocambolesques, ce qui n'exclut d'ailleurs pas une poursuite infernale jusqu'au coeur des Pyrénées ou un sauvetage inespéré dans un monastère écossais... Mais c'est aussi, comme l'affirme le sous-titre, un grand roman d'actualités politiques et sociales.
L'action commence en mai 1873 et se termine en 1881, dans ces années où " la France entrait en République ". Et le héros, le charpentier Lucien Duval, double romanesque et (ô combien !) idéal de l'auteur, se joue de toutes les embûches dressées sur son chemin par " la Réaction " et fait triompher la République à Rennes.
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