Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
En 1788, en réponse à une question mise au concours par l'Académie Royale des Sciences de Paris, le peintre liégeois Léonard Defrance rédige un mémoire sur les broyeurs de couleurs, leurs techniques et les maladies résultant de l'insalubrité de leur travail. Cet artiste, dont on célèbre cette année le bicentenaire de la disparition, y apporte un inestimable témoignage sur de nombreux procédés picturaux et sur l'organisation générale des ateliers.
À une époque où la peinture atteint un haut niveau d'élaboration, la description méticuleuse qu'il donne de nombreux pigments, des huiles et des vernis, de la préparation des toiles et des panneaux est une source de la plus grande utilité. Le mémoire de Defrance est, tout à la fois, un tableau minutieux du métier, un traité des maladies professionnelles, et un recueil de moyens pour préserver la santé.
Il passionnera l'historien d'art, l'historien des sciences mais aussi le restaurateur et l'artisan.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"