80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Intimidé dès la première phrase comme une jeune fille à son premier bal, j'ai très vite été ébloui par la richesse des mots et emporté par le flot d'images et de couleurs.
Puis, dans un fol tourbillon, je me suis mis à tourner, tourner, tourner de plus en plus vite au rythme et au son de l'accordéon jusqu'à une sorte d'oubli, d'extase. j'étais derviche pour quelques pages encore, dans une chaleureuse atmosphère, humaine et rassurante. tout valsait, tout guinchait et gambillait dans un formidable mouvement centrifuge et l'on distinguait pourtant, tels les deux piliers inébranlables du monument qu'était cet authentique moment de grâce : le musicien, sa trogne joviale et ses doigts d'orfèvre et le poète, témoin vivant de l'harmonie de ces corps fusionnés de musique.
Merci à pierre-eric droin de m'avoir fait l'honneur d'ouvrir ce bal, d'ouvrir ces bals car il en faudra encore et toujours pour nourrir la passion dévorante de l'ogre. l'éditeur.
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