Pourquoi le meurtrier utilise-t-il des insectes pour parvenir à ses fins ? et pourquoi signe-t-il des crimes apparemment sans mobile en s'en prenant à des hommes aux vies insignifiantes ? telles sont les questions que se pose le capitaine jacques belony depuis qu'il enquête sur la mort d'un homme dont le corps était recouvert d'insectes.
Mmis il a beau tourner et retourner le problème dans sa tête, il ne comprend pas. et pendant ce temps, le tueur continue de sévir. assisté de marie, un jeune lieutenant de police, stigmatisé par sa hiérarchie, belony est bien décidé à découvrir ce qui relit les meurtre es entre eux. mais il ne sait pas encore ce qui l'attend, et qu'il est parfois plus risqué qu'on ne l'imagine d'affronter ce monde d'ailes et de dards, de pinces et de mandibules.
Sauf à avoir appris à disséquer l'âme humaine.
Plus je remonte dans la bibliographie de Franck Bouysse, plus se dégage une idée obsédante, celle de la filiation. Du lien universel entre un père et son enfant, que ce lien soit biologique ou non, ou l'absence de ce lien dans toutes ses contradictions.
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Dans ce premier roman, l'écriture ciselée de Bouysse est déjà en germe. Quant aux questionnements sur la paternité, si elle est explorée dans Né d'aucune femme, elle est ici au coeur des problématiques et des angoisses des protagonistes.
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Si votre bibliothèque le possède, courrez l'emprunter (plus édité, les éditions d'occasion sont hors de prix !).
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