80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cette exposition thématique d'envergure intitulée L'Énigme autodidacte revient sur la position de l'autodidacte dans l'histoire de l'art contemporain. Elle rassemble plus d'une centaine d'oeuvres, issues de collections privées et publiques majeures, sur environ 1 000 m² et s'étend des années 1950 et 1960 - importante période d'émergence des autodidactes - jusqu'à aujourd'hui, avec l'intérêt de la nouvelle génération pour les algorithmes autoapprenants... Des grands noms de l'art contemporain, à ceux de l'art brut/outsider, en passant par des démarches moins connues, cette exposition s'intéresse aux oeuvres de créateurs aux parcours très divers. Ce que ce projet cherche à situer, ce sont les intentions, processus et gestes autodidactes qui portent - consciemment, intuitivement, ou inconsciemment - à innover sur le plan esthétique et à obtenir, parfois rétrospectivement, une place de choix dans l'histoire de l'art. Alors qu'aujourd'hui, les débats sur la place des amateurs dans la construction des savoirs ou sur le rôle des connaissances « informelles » dans un parcours professionnel, éclairent d'un jour nouveau le rôle de l'autodidaxie dans notre société, cette exposition entend clarifier, par une approche rétrospective, sa place dans les pratiques artistiques. Commissariat : Charlotte Laubard, historienne de l'art et responsable du département d'Arts visuels de la HEAD - Genève (Haute École d'Art et Design)
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