"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Celui pour qui le voyage est agréable, n'aime pas sa patrie » écrivait Augustin. Ses mots, qui reviennent régulièrement sous la plume de l'évêque d'Hippone dans ses commentaires sur la religion chrétienne, sonnent également comme un constat plus personnel sur sa propre expérience du voyage sur les routes de l'Afrique romaine à la fin de l'Antiquité. Ici, la distance est frappante entre une image très rébarbative du voyage, en raison notamment des divers désagréments et dangers qui sont susceptibles de guetter le voyageur, et la multiplication des voyages personnels mais également officiels depuis le Principat d'Auguste et l'affirmation du contrôle de Rome sur le territoire africain, qui modifie le contexte même dans lequel ils se réalisent désormais. Quelles évolutions ont alors connues les différentes pratiques du voyage, entrepris à titre privé ou bien à titre public ? En quoi sont-elles emblématiques des grands changements qui ont transformé la société et le territoire provincial africains, depuis le règne d'Auguste jusqu'à l'époque de saint Augustin
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