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Le temps n'aît pas (périple dans l'entre-deux)

Couverture du livre « Le temps n'aît pas (périple dans l'entre-deux) » de Alain Moreau aux éditions Societe Des Ecrivains
Résumé:

Pourquoi : « Le temps n'aît pas » ? Et d'abord, pourquoi un tel jeu de mots ? Parce qu'en faisant « jouer » les mots, c'est comme si l'on cassait leur coque et l'on découvrait une pulpe - de saveur et de signification nouvelles. Cette vérité des choses, cette vérité de nous-mêmes, il faut aller... Voir plus

Pourquoi : « Le temps n'aît pas » ? Et d'abord, pourquoi un tel jeu de mots ? Parce qu'en faisant « jouer » les mots, c'est comme si l'on cassait leur coque et l'on découvrait une pulpe - de saveur et de signification nouvelles. Cette vérité des choses, cette vérité de nous-mêmes, il faut aller la chercher au-delà des apparences. C'est alors comme une éclosion. Elle peut se produire dans les moments d'intense contemplation, de puissante méditation : nous sommes alors comme reliés à une racine d'essentiel - elle nous abreuve. Mais ce peut être aussi en éclairant les réalités de la société ou celles de nos relations personnelles : quelle est la vraie nature de l'économique ? Du rapport humain sexuel, du viol ou de la publicité ? À quelle vérité nous ouvre un tableau de Rembrandt ? Qu'est-ce que penser ?
Le « périple dans l'entre-deux », c'est dans le sillage d'Heidegger puis d'Augustin aller chercher, au-delà du quotidien - notre « défaite » (H. Michaux) - un rapport vrai, puissant - et souvent jubilatoire ! - avec les choses, avec les êtres, avec le monde. Il y faut une forme où la raison (extérieure) rencontre une résonance en nous. Pour cela, un pont doit être jeté entre poésie et pensée.

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