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Il était écrit dans Le Chant de la Terre, cette épopée si vaste qu'un siècle ne suffirait pas à la déclamer, que le roi Arthur y ferait de la figuration.
L'homme de Camelot, le fondateur de la Table Ronde, le suzerain de Perceval et l'ami de Merlin. L'amant (et digne époux) de la reine Guenièvre.
Arthur qui louche néanmoins sur la jolie Nynève.
Et qui doit jouer un rôle central dans la libération de Starquin, le dieu spatial prisonnier d'un lointain avenir où les aléapistes se brouillent.
En marge de la science-fiction, de la fantasy et de la mythologie, ce cinquième et dernier volet du Chant de la Terre établit Michael Coney comme un créateur d'univers à l'égal de J.R.R. Tolkien, Frank Herbert, Cordwainer Smith ou Philip José Farmer.
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