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Après Les Lettres de la création (2006), les Éditions Arfuyen ont commencé de travailler avec Catherine Chalier dans la collection « Les Carnets spirituels » à une suite d'ouvrages consacrée aux grandes figures du hassidisme. Car si l'on pense, depuis les livres de Martin Buber et d'Élie Wiesel, bien connaître les auteurs hassidiques, on n'en a en réalité qu'une vue générale et déformante, très marquée par le pittoresque et le folklore.
Le projet de cette série sur le hassidisme est de donner à lire pour la première fois les textes les plus substantiels de ses grands auteurs, et non pas seulement leurs anecdotes ou bons mots. Deux ouvrages ont paru à ce jour : Kalonymus Shapiro, rabbin au Ghetto de Varsovie (2011) et Aux sources du hassidisme, le Maggid de Mezeritch (2014).
Le 3 e ouvrage de cette série est consacré à une figure majeure du hassidisme, le rabbi de Kotzk.
Comment vivre l'amour de Dieu de façon absolument désintéressée et dans une lucidité qui éclaire tous les replis cachés de soi ? Pour le rabbi de Kotzk, l'homme doit avancer « un pied dans le ciel, un pied sur la terre » en se sachant « entouré par l'abîme ». Sa pensée forte et exigeante s'exprime dans de nombreux aphorismes brillants et pessimistes, tels que celui-ci : « Pour sauver Sodome, il fallait dix justes ; pour renverser le monde et tout ce qui s'y trouve, il suffit d'un seul idiot. »
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