80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les travaux du Congrès des notaires de France 2021 propose une réflexion inédite en trois axes sur les défis que la révolution numérique fait peser sur la règle de droit:- Protéger la personne et le citoyen dans le monde numériqueLe numérique a investi toutes les strates de la vie économique et sociale de la personne et du citoyen, offrant à chaque individu des moyens nouveaux pour se reconnaître une identité, s'exprimer et parfois même exister. Comment accompagner celles et ceux qui n'ont pas accès à ces outils et cette culture?- Valoriser et transmettre le patrimoine dans le monde numériqueLe monde numérique a donné naissance à de nouveaux biens, droits et obligations dont une personne peut être titulaire ou tenue. Le numérique ne s'est donc pas contenté de révolutionner les modes de gestion et de détention des actifs patrimoniaux traditionnels, il a également créé ses propres actifs qui participent à la constitution d'un patrimoine numérique d'un ordre nouveau.- Moderniser et encadrer le contrat dans le monde numériqueLe contrat appartient déjà à la sphère de l'immatériel car il repose sur un accord de volontés dont l'expression ne commande aucune matérialité. La révolution digitale interroge le droit des contrats sur la pertinence de règles établies à une époque où la matérialité caractérisait à la fois l'objet et la forme des contrats. La réflexion revisite les règles de formation et d'exécution des contrats et définit les conditions d'une éventuelle adaptation du droit des contrats à la vie numérique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année