80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Le Majestueux », c'est le surnom donné en Indochine par ses camarades de l'armée française au père de Robert Djellal. Les pages sur cette guerre si méconnue (1947-1954), sur les tortures subies par les soldats français prisonniers des vietnamiens sont parmi les plus fortes de ce témoignage très émouvant où un fils cherche à retrouver la voix d'un père qui dissimulait ses blessures derrière une pudeur farouche. Trois récits se croisent, s'entrechoquent et se répondent. L'histoire du père qui connut aussi les prisons en Algérie pour avoir refusé de devenir le féal d'un régime dictatorial, celle du fils qui, envers et contre tous, deviendra un pur produit de la « méritocratie républicaine » et, enfin, un voyage en Algérie où Robert Djellal essaie de déchiffrer de quel désert il vient.
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