Dès qu'il est conçu, l'être humain appelle un respect absolu. Cette vérité simple, éclatante, a du mal à se faire reconnaitre. Elle est pourtant fondatrice. Le droit de l'homme à la vie implique en premier lieu le droit de naître. Il est au principe de la démocratie et de l'État de droit. Inscrit à l'article 3 de la « Déclaration universelle» de 1948, il a ouvert un nouvel espace de réfléxion. Ce livre de philosophie et de théologie sur le respect de l'enfant, de la conception à la naissance, ne sépare pas le jugement moral de sa référence connaturelle au droit et à l'ordre politique. La société, l'État, l'Église, les institutions catholiques d'enseignement et de santé sont au centre du propos. L'ouvrage est né de l'actualité et des discussions récentes (en Belgique et hors de Belgique, dans l'Église et ailleurs). Il fait la point de la situation. En finale, il laisse entendre longuement la Parole de Dieu. La presse en parle «Nous savons gré à l'auteur de porter le regard paisible du philosophe et du théologien sur les questions brûlantes qui secouent notre société face à la vie. Pour rester lucides face aux enjeux.» Michel Dangoisse (Pâque Nouvelle) «L'ensemble est homogène et bien documenté. Il éclaire le problème de l'avortement et du statut de l'embryon de manière nuancée et fort complète.» L. Partos (Lumen Vitae)
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