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Existe-t-il une conscience universelle ? Qui peut prétendre légitimement l'exprimer ?
Malgré ses limites historiques et les violations dont elle n'a cessé d'être l'objet, la Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée en décembre 1948 par l'Assemblée générale des Nations Unies, fut, sans aucun doute, un des moments où s'exprima cette conscience.
En son article 5, elle déclarait : « Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
» En son article 10 : « Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera soit de ses droits et obligations, soit du bien fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. » En son article 11 : « Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées. » Rien de tout cela ne fut accordé à Abdallah Younsi.
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