80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Se changer, s'améliorer.
Oui, mais commentoe sur quoi peut-on s'appuyeroe si ce n'est pas seulement une question de volonté, peut-on "croire" en l'inconscient ou faut-il s'en méfieroe l'expérience de submergement - pulsions, actes manqués. - que nous avons pu en faire nous inciterait plutôt à nous en écarter, ou du moins à essayer de le domestiquer. jean-françois noel n'est pas de cet avis. non, l'inconscient n'est pas "la part obscure" de nous-mêmes, et la difficulté ne tient pas au fait qu'il existe, mais plutôt à l'usage que nous en faisons, à la façon dont nous en tirons le meilleur profit.
Et si cette interface joue avec le prochain, pourquoi cesserait-elle avec dieuoe devenu la part lumineuse de nous-mêmes, cet inconscient accueilli n'est-il pas ce que les anciens avaient désigné par le mot "âme"oe une ouverture spirituelle. et une autre manière de penser la relation de l'homme à dieu.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année