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Pendant des siècles Metz a été une ville fortifiée entourée de remparts dont il ne subsiste aujourd'hui que la Porte des Allemands. Au cours de sa longue histoire la place avait subi plusieurs sièges. A chaque fois les assaillants avaient échoué dans leur tentative. Les Messins étaient fiers de cette résistance à laquelle ils avaient contribué et étaient persuadés que leur ville était imprenable. L'objectif initial des dirigeants militaires allemands n'était pas de mettre le siège devant la place de Metz mais de poursuivre l'armée française principale et de la contraindre à un combat dont ils espéraient pour eux une issue favorable.
Dans cette perspective furent engagées les trois batailles autour de Metz : Borny le 14 août, Mars-la-Tour-Rezonville le 16 août, Gravelotte-Saint-Privat le 18 août. Au lieu de poursuivre la marche sur Verdun, Bazaine replia l'armée du Rhin autour de Metz. Dans ce nouveau contexte, Moltke, le commandant en chef de l'armée prusso-allemande, décida de mettre le siège devant Metz, de bloquer la place pour empêcher l'armée du Rhin (environ 150 000 hommes) d'en sortir puis de la contraindre à capituler.
Ce siège de 1870 a été le dernier des sièges de Metz.
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