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Le complot contre la voiture électrique ; de 1841 à la 1ère Guerre mondiale

Couverture du livre « Le complot contre la voiture électrique ; de 1841 à la 1ère Guerre mondiale » de Daniel Depris aux éditions Tatamis
  • Date de parution :
  • Editeur : Tatamis
  • EAN : 9782371530249
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Daniel Depris s'est beaucoup intéressé aux transports et plus spécialement à ceux qui utilisent l'électricité comme force motrice. Il s'y est intéressé sur le plan technique mais aussi sur le plan historique. Dans le présent ouvrage, il démontre que les véhicules électriques étaient parfaitement... Voir plus

Daniel Depris s'est beaucoup intéressé aux transports et plus spécialement à ceux qui utilisent l'électricité comme force motrice. Il s'y est intéressé sur le plan technique mais aussi sur le plan historique. Dans le présent ouvrage, il démontre que les véhicules électriques étaient parfaitement au point dès la seconde moitié du XIXème siècle, qu'il y eut de nombreux véhicules électriques routiers en Europe et aux Etats-Unis, mais que l'essor de ce type de locomotion fut brutalement freiné, puis stoppé, par la volonté du lobby pétrolier américain. Documents à l'appui, l'auteur nous présente les voitures électriques de jadis, depuis le chariot de Davidson (1841) jusqu'aux voiturettes de l'après-seconde guerre mondiale, mais aussi les camions et autobus qui furent produits et utilisés dès le tout début du XXème siècle. Il nous parle des « fiacres électriques » des taxis parisiens, des véhicules électriques des sapeurs-pompiers de Paris, de la « Jamais Contente » qui fut le premier véhicule routier à rouler à plus de 100 km/h. Il fait revivre les pionniers de la voiture électrique : Jeantaud, Krieger, Mildé et bien d'autres.
Ce livre est une étude historique et technique passionnante et révélatrice. Il prouve qu'on nous ment en nous présentant la voiture électrique comme une voiture « de l'avenir ». C'est aussi un réquisitoire contre les milieux industriels et politiques qui se sont pliés aux exigences de la « bande à Rockefeller », aux manigances des ploutocrates américains puis des roitelets en babouches de l'OPEP, ces semeurs de haine qui ont financé le terrorisme musulman grâce aux pétrodollars.

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